Le nouveau DREAMWEST est en kiosque

 

Quand je dis le « nouveau » Dreamwest est en kiosque, je devrais dire : le nouveau nouveau Dreamwest. Nouveau parce que c’est le numéro tout neuf de mars-mai 2012. Mais nouveau aussi parce que le magazine qui aime l’Amérique (et qui le prouve) s’est fait un nouveau look pour le printemps : changement de format, changement d’accroche(s), changement de logo. Mais, rassurez-vous, fidélité dans l’esprit même qui contribue à son succès.

Au bilan ? Une totale réussite ! Un p’tit coup de jeune, un côté dandy, un brin de tranquille insolence : tout cela lui va parfaitement au teint. Avec, toujours, une palanquée, un foisonnement, un fourmillement d’infos, d’échos, d’anecdotes, d’indiscrétions, le tout servi par une luxueuse iconographie.

Pendant que j’y pense (et c’est mon titre : « Le nouveau Dreamwest est en kiosque » qui m’y fait penser) : n’oubliez pas de vous abonner ! D’abord parce que rien n’est plus sécurisant pour un média quel qu’il soit que d’avoir un matelas d’abonnés. Mais aussi – et surtout, pour ceux que mon argument « matelas » laisserait froids – parce que, en vous abonnant, vous recevez ipso facto le fameux « Passeport Dreamwest ».Qui offre de substantiels avantages : ristournes sur tous les festivals partenaires et les concerts affiliés, avantages dans de nombreux magasins westerners, prix privilégiés sur tous les livres de la collection « Go West » (Atelier Fol’Fer), etc.

En ces temps de crise où il faut se serrer la ceinture (et même quand c’est un ceinturon avec une superbe boucle country), il n’y a pas de petites économies. Assez de privation et ouvrons grand les portes du rêve !

Cela tombe au poil car, du rêve, dans ce numéro de Dreamwest, il y en a à toutes les pages ! Avec notamment un dossier « Michigan » (première partie tant cet Etat est riche à tous points de vue), histoire de rappeler que c’est un territoire made in France (il faisait partie de la grande Louisiane française) et de parcourir ses paysages, ses réussites, de découvrir ses gloires régionales : de Louis Chevrolet à Bill Haley (roi du western swing avant de devenir celui du rock) en passant par Barnum, Diana Ross, Alice Cooper, la grande aventure de Motown, etc.

Comme – thank’s God ! – on va plutôt vers l’été, les programmes de festivals commencent à pointer le bout de leur nez. On en retrouvera là quelques-uns évoqués, comme une sorte de mise en jambe pour le prochain numéro qui nous réserve – qu’on se le dise par avance ! – quelques pépites. Mais notez d’ores et déjà qu’à Craponne – le festival où l’on vient écouter de la musique et pas s’agiter du popotin – on aura du lourd (notamment The Turnpike Troubadours et Two Tons of Steel). Mais on aura l’occasion d’y revenir plus longuement.

A chaque numéro, Dreamwest réussit à nous épater. Là, avec ses habits neufs, ses habits de fête, il nous bluffe ! Tant mieux, c’est signe que ce magazine (qui est déjà la référence française aux Etats-Unis) est en train, après avoir su trouver son rythme de croisière, de passer à la vitesse supérieure. C’est le moment de monter à bord pour participer à cette grande aventure !

Alain Sanders

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Dreamwest, c /o Diane Editions, 127 rue Amelot, 75011 Paris. Tél. : 01 43 00 89 03.

 

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