Vous avez un peu le blues au retour des vacances ? Eh bien, vous avez l’antidote : le nouveau numéro de Dreamwest (numéro 27, septembre-novembre 2012) est dans nos kiosques. Avec une superbe « une » de couverture consacrée à un groupe légendaire, Ten Years After, dont on retrouve une interview exclusive dans les pages intérieures.

Rédacteur en chef de ce magazine unique en France (et à bien des égards en Europe), Sébastien Sidoun écrit : « Cette rentrée est placée sous le signe de l’émotion. » Il a bien raison de le dire. Et d’abord parce que, de numéro en numéro, Dreamwest s’affirme, s’affine, se renforce, s’embellit !

Au sommaire, un grand reportage sur un événement nashvillien, les 3 et 4 juin derniers, où Dreamwest était partie prenante : le Billboard Country Music Summit. La magazine y était représenté, ès qualité, par Tony Taylor, Terri Church, directrice de Dreamwest USA, et Ron Smith, photographe et vidéographe du magazine aux Etats-Unis. Ce qui nous vaut un article épatant et des photos du même calibre (dont une, très émouvante, de Willie Nelson).

Passionnant, aussi, le premier volet du dossier « Ohio » avec une présentation de quelques-unes des grandes figures de ce grand Etat : de Roy Rogers à Steven Spielberg en passant par Dean Martin, David Allan Coe (un de mes chanteurs country favoris), Guns n’ Roses, etc.

Autre article que vous ne trouverez nulle part ailleurs, une recension très pointue du dernier album (qui fait un carton) de Lionel Richie, Tuskegee, du nom de cette petite ville d’Alabama où il est né. Pourquoi est-ce un vrai événement ? Parce que l’album de ce grand chanteur, connu comme un soulman hors pair, est un album intégralement country ! Quand Motown rencontre Nashville et Austin, ça donne ça : des duos de rêve avec – excusez du peu – Kenny Chesney, Little Big Town, Willie Nelson, Tim McGraw, Jason Aldean, etc.

Mais tout serait à citer dans ce numéro qui, comme les précédents, prend des allures de collector à peine paru. Le papier de Georges Carrier, par exemple, sur Nashville, qui reflète exactement ce que je pense depuis des années des dérives de « Music City ». Georges Carrier ? That’s my kind of people !

Rien de ce qui est américain n’étant étranger – et tout au contraire – à Dreamwest, on y parle de Gettysburg en profondeur, on y évoque une voiture mythique, la Packard (dont l’histoire s’est hélas arrêtée en 1962), on y est à la pointe de l’actualité des CD et des livres de notre (nouveau) monde, on y musarde avec les croisières country dont le succès va grandissant, on y gambille avec des fiches de danse (exclusivement de la danse country, faut-il le préciser), on y rêve avec Martina Mc Bride, Carrie Underwood, Whitney Houston, on s’y instruit avec des articles historiques, on y voyage en Espagne avec deux festivals 100 % country…

Mettre le blues away, écrivons-nous en ouverture. C’est le miracle de Dreamwest. Essayez et vous m’en direz des nouvelles. Dreamwest, ça fait tellement de bien que ça devrait être remboursé par la Sécurité sociale ! En attendant, précipitez-vous l’acheter en kiosque ou mieux : abonnez-vous ! Ce qui vous donnera droit, en plus, à une palanquée d’avantages et de privilèges.

Alain Sanders

- Dreamwest, c /o Diane Editions, 127 rue Amelot, 75011 Paris. Tél. : 01 43 00 89 03. Site : dreamwest-tv.fr