Lilly West :
une vraie country music attitude


Lilly et Nick, lors de la remise du mastering

Dire que nous aimons Kenny et Lilly serait peu dire. Ils pensent country, ils respirent country, ils vivent country (au point de s’être immergés à Chomelix, non loin de Craponne-sur-Arzon) dans un environnement auquel ils ont réussi à donner une atmosphère Montana-Wyoming revisité Texas…

Et, comme dans une chanson country ils sont, il y a peu, sortis miraculeusement d’un accident qui a failli leur coûter la vie. Lilly, c’est Lilly West. Qui, pour le coup, pourrait se résumer par un énoncé façon serial americain : beauté, charme et talent. Kenny, c’est le sweetheart de Lilly. Mais c’est aussi son manager. Qui veille à tout : sono, animation, technique.




Toutes les dates de ses prochains concerts sur le site officiel de Lilly West :

http://www.lillywest.fr

 

En février dernier, ils sont partis tous les deux pour Austin. Pour enregistrer un album. Au retour, Lilly nous a dit :

– C’était génial. On est sorti tous les soirs, surtout au Gruene Hall qui n’était pas loin de l’endroit où l’on habitait. Tout nous manque maintenant que l’on est rentré : les supermarchés avec toujours un fond de country et plein de bonnes choses grasses à manger, la radio, la télé, la gentillesse des gens… Et puis l’album, bien sûr, Greetings From Austin, Texas. Les musiciens là-bas ? Des pros. On a fait du dix heures par jour pendant neuf jours et pas un ne s’est plaint. Toujours la pêche pour bosser…

Lors des nombreuses visites dans les honky-tonks du Texas, Lilly a pu rencontrer de grands noms de la country tels que Dale Watson, Jason Allen, Zack Walther, et de vifs encouragements de la part de John-Arthur Martinez qui se produisait au Gruene Hall, le plus vieux dance hall du Texas. Pendant le Stock Show & Rodeo de San Antonio, Lilly a été agréablement surprise par la générosité et la simplicité du grand artiste Clay Walker. Le spectacle fut de grande qualité tant par la beauté des chevaux américains que le grand professionnalisme des cowboys et cowgirls.

. Lilly expliquait il y a quelque temps dans L’Eveil :

 

– C’est dur de vivre de sa passion. Il faut pouvoir se dire : demain, je suis là. Ce sont des heures et des heures de travail, mais aujourd’hui on est à 100 % autonomes. On propose un spectacle clef en main. Mon but, c’est de faire passer du bon temps aux gens, de leur faire oublier leurs problèmes le temps d’une soirée.


Lilly et Jon Arthur Martinez

L’album Greetings From Austin, Texas est essentiellement constitué de titres originaux écrits, composés et arrangés par Lilly West. Ces compositions sont inspirées des expériences de sa vie, on retrouve bien là les thèmes de la country music.
Cet album étant très dansant, des chorégraphies de danse country seront bientôt disponibles.

 

Lilly West a enregistré Greetings From Austin, Texas début février au « Sam Studio » d’Austin. Lilly avait tout coordonné depuis la France afin que le producteur Keith Davis reçoive tou-tes les directives nécessaires au bon déroulement de l’enregistrement. Le producteur, Keith Davis, artiste américain de country music était donc chargé de la coordination de tous les musiciens. De nombreux musiciens ont enregistré sur l’album de Lilly West : plusieurs guitares électriques, guitare acoustique, pedal steel, claviers, harmonica, baryton, basse et batterie. Le mastering a été réalisé dans un studio de grande renommée : le Terra Nova Digital Inc., qui a entre autre vu passer Johnny Cash, Willie Nelson, Asleep At The Wheel, et bien sûr Kevin Fowler. En tant qu’artiste française, Lilly a été accueillie très chaleureusement par les Texans.

Ecoutez l’album de Lilly qui sortira courant avril : c’est du bonheur. Et, surtout, si vous la voyez à l’affiche de telle ou telle scène et de tel ou tel festival, ne la ratez pas.
A consommer sans modération 
Love is a burning thing chante Johnny Cash dans Ring Of Fire. Ce pourrait être la devise de Kenny West et du Burning Band.


Photos : Kenny et Lilly

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